Sommaire
Introduction
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les fours
Quels sont les éléments essentiels d’un four multifonction?
Quelle température pour quelle préparation culinaire ?
Quelle fonction pour quel type de cuisson ?
Quelle programmation pour quel cuisinier ?
Quel système de nettoyage pour quels résultats ?
Quels accessoires, pour quels bénéfi ces ?
Une tendance qui s’impose : le four vapeur
Et si on parlait sécurité ?
A, B ou C... Quelles sont les classes énergétiques ?
Quelles sont les déclinaisons ergonomiques et esthétiques actuelles ?
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Le plaisir des cuissons réussies
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les tables de cuisson
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Une offre diversifi ée… pour tous les goûts
Les tables à induction : une technologie maîtrisée
Les tables vitrocéramiques radiants ou halogènes
Les tables gaz
Les dominos
Quelles sont les tendances esthétiques et ergonomiques actuelles ?
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les hottes
Quels sont les différents modèles de hottes ?
Comment choisir sa hotte ?
Comment bien entretenir sa hotte ?
Quelles sont les fonctions proposées par les bandeaux de commandes ?
Quelles sont les tendances ergonomiques et esthétiques actuelles ?
les chiffres du marché
Index
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Aussi belles qu’effi caces…
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33
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SOMMAIRE
tout savoir sur l’univers savoureux de la cuisson encastrable
Les jeunes générations reprennent avec joie le chemin des fourneaux :
70% des français âgés de 16 à 65 ans avouent aujourd’hui faire la cuisine avec plaisir*. Ils sont visiblement lassés des recettes qui ne contentent ni les estomacs, ni les papilles.
Les français redécouvrent la cuisine comme un lieu de vie, où il fait bon se retrouver en famille ou entre amis, tout en mijotant de savoureux petits plats.
Synonymes d’innovations, les appareils de cuisson encastrables participent pleinement à ce retour à une cuisine pleine de saveurs et de convivialité.
Fours multifonction, tables de cuisson et hottes aspirantes ont, en effet, connu ces dernières années des évolutions et des révolutions technologiques.
Celles-ci s’imposent aujourd’hui comme les références parce qu’elles font rimer réussite culinaire et gastronomie avec simplicité, économies d’énergie et design.
Le Guide 2005 de la cuisson encastrable a pour vocation de vous faire découvrir ou mieux connaître ces avancées majeures.
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*Etude réalisée par l’Ocha (Observatoire Civil des Habitudes Alimentaires).
INTRODUCTION
les fours
Le plaisir des cuissons réussies...
Des gâteaux délicieusement moelleux, des viandes tendres et juteuses, des légumes fermes et savoureux… Les nouveaux fours multifonction exploitent à la perfection tous les atouts de l’électronique.
Les recettes sont au programme, les températures les plus fi nes sont atteintes, le nettoyage se trouve facilité et la sécurité assurée. L’esthétique ?... Pour tous les goûts, pour toutes les cuisines !
> Quels sont les éléments essentiels d’un four multifonction ?
Description d’un four
1 > Moufl e
2 > Résistance de voûte
3 > Résistance circulaire
4 > Eclairage latéral
5 > Gradin
6 > Turbine
7 > Résistance de sole
A la pointe de la technologie, les fours multifonction
équipent aujourd’hui 80% des foyers français possédant un four.
Apparus sur le marché il y a quelques années, ils se distinguent des fours traditionnels par l’utilisation d’une turbine lors des cuissons. Celle-ci permet de bénéfi cier d’une multitude de modes de cuisson pour réussir toutes les préparations culinaires.
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> Quelle température pour quelle préparation culinaire ?
Grâce à l’électronique qui les compose, les fours multifonction sont aujourd’hui fi ables au degré près.
Les plages de températures disponibles sont adaptées à chaque préparation :
300°C - 270°C :
Rôtisserie à la broche, grillades porte ouverte, gratinage et préchauffage pour les viandes.
240°C - 220°C :
Viandes rouges, pissaladières, pizza, feuilletés et certains gibiers à rôtir.
210°C - 180°C :
Porc, veau, volailles, papillotes, rôtisserie au turbogril, poissons à rôtir ou à braiser, légumes, gratins, tartes, quiches, tourtes, pâtés, souffl és, choux pâtissiers, crèmes, sablés…
160°C - 140°C :
Brioche, cake, quatre-quarts, biscuits, tuiles, macarons, cuisson en cocotte (mijotage), terrines et stérilisation, cuisson au bain marie.
120°C - 75°C :
Réchauffage des plats déjà cuisinés et chauffe assiettes.
60°C :
Maintien au chaud, séchage des meringues, chauffe assiettes.
40°C - 30°C : Décongélation accélérée, levée des pâtes boulangères.
Pour faciliter l’utilisation des fours, les fabricants du GIFAM proposent aujourd’hui des pictogrammes culinaires.
Chaque pictogramme correspond à une position de cuisson pré-programmée.
LE SAVIEZ-VOUS ?
Sur 100 utilisations de fours, 36 concernent les viandes, 23 les gratins, 20 les gâteaux et tartes, 8 les quiches, 7 les pizzas et 6 les poissons.
(Source Research Plus – Nov 2004)
LES FOURS
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> Quelle fonction pour quel type de cuisson ?
Les
modes de cuisson de base
d’un four multifonction
La chaleur tournante associant turbine + résistance chauffante circulaire. Dans ce cas, l’air est rapidement réchauffé pour assurer des cuissons homogènes. Ce mode autorise la cuisson de plusieurs plats différents sur plusieurs niveaux sans mélange d’odeurs ni de saveurs.
Pour ce résultat de cuisson, certains fabricants font fonctionner également la voûte et la sole.
La chaleur tournante associant turbine + voûte et sole. Ce mode de cuisson est adapté à la préparation des sablés, des pâtes feuilletées, des souffl és mais également des viandes blanches. L’air pulsé autorise une cuisson de deux plats identiques, en même temps.
Air pulsé :
1 > Résistance de voûte
2 > Turbine
3 > Résistance de sole Chaleur tournante :
1 > Résistance circulaire
2 > Turbine
LE SAVIEZ-VOUS ?
La chaleur tournante permet une montée en température plus rapide. Ainsi, la température de 200°C est atteinte en 6 à 8 minutes, contre 20 minutes pour les autres modes de cuisson. Résultat : un réel gain de temps sur le préchauffage et la cuisson et d’importantes
économies d’énergie.
Chez certains fabricants, la chaleur tournante est aussi appelée air pulsé ou air brassé.
La convection naturelle (voûte + sole) est le procédé de cuisson le plus éprouvé. Il est adapté aux recettes traditionnelles. Les résistances de la voûte et de la sole fonctionnent seules. L’air chaud circule sans aide de la turbine. Ce mode autorise une cuisson sur un seul niveau.
Il existe également la convection naturelle « étuvée » qui assure une humidité constante dans l’enceinte. Idéale pour réussir les pâtisseries.
Convection naturelle :
1 > Résistance de voûte
2 > Résistance de sole
Le gril utilise la résistance de la voûte pour griller côtes de bœuf, côtelettes, sardines… Idéal pour retrouver chez soi les saveurs d’un barbecue. Le gril modulable permet de dorer légèrement ou de gratiner fortement selon le désir du cuisinier. La fonction turbo gril (ou Grandes Surfaces) est particulièrement adaptée à la cuisson des grosses pièces de viandes ou des brochettes, par exemple.
Le tournebroche est destiné à la rôtisserie des grosses pièces de viande et les volailles dans le respect des traditions. Les aliments sont dorés à point, et conservent leur moelleux. La broche tourne lentement grâce à un moteur placé à l’arrière ou sur le côté. Le tournebroche tem-
porisé continue de fonctionner après la fi n de la cuisson pour éviter le dessèchement des viandes.
La décongélation utilise seulement la turbine. L’air brassé réchauffe la pièce à décongeler sans provoquer ni modifi cation de l’aliment ni commencement de cuisson. Avec ce procédé, un poulet de 1,5 kg est décongelé en 3 heures environ.
Les
modes de cuisson innovants
proposés sur les fours multifonction
La cuisson basse température permet une cuisson lente, douce et régulière, en dessous de 100°C. Elle évite l’évaporation des jus et le durcissement des viandes. De l’avis des grands chefs, la basse température conditionne la réussite de la cuisson des viandes. Elle s’impose en gastronomie pour réussir un savoureux gigot d’agneau fondant et parfumé, une volaille tendre ou un rôti de porc qui ne perd rien de sa saveur, de sa texture ou de son poids initial.
La sole brassée est dédiée aux préparations culinaires
à base de pâte avec un contenu très humide, comme les tartes sucrées et salées, les pâtisseries, les quiches, qui cuisent uniformément et qui permet à la pâte de devenir croustillante.
La fonction micro-ondes assure une grande rapidité pour réchauffer des préparations déjà cuisinées, décongeler... L’association four et micro-ondes garantit jusqu’à
80% d’économie de temps de cuisson et 50% d’économie d’énergie.
La fonction pain rend la préparation croustillante à l’extérieure et moelleuse à l’intérieur. Elle convient également à la cuisson des viennoiseries et des pizzas.
La fonction maintien au chaud garde la préparation
à température sans la dessécher et sans risque de sur cuisson.
La fonction étuve garantit une température inférieure à
60°C et un taux d’humidité maximum dans l’enceinte du four pendant toute la durée de la cuisson. Évitant tout risque de dessèchement, cette fonction est particulièrement adaptée à la levée de pâtes (brioche, pain…) avant leur cuisson.
La fonction préchauffage ultra-rapide permet d’atteindre la température de 200°C en 6 minutes seulement. Elle est idéale pour saisir les viandes rouges par exemple.
Elle procure un gain de temps pour les recettes nécessitant un enfournement en four chaud.
Les fours multifonction permettent d’enchaîner les
fonctions
: par exemple, il est possible de faire suivre la cuisson d’un gratin d’un passage sous le gril, pour rendre la préparation croustillante. De même, une cuisson peut
être suivie d’un maintien au chaud enchaîné.
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TRUCS ET ASTUCES DE CUISSON
L’adjonction d’eau pendant la cuisson : il n’est pas rare que l’on ajoute, en début ou en cours de cuisson, de l’eau dans le plat pour avoir un maximum de jus en fi n de cuisson. En fait, il est préférable d’ajouter de l’eau en fi n de cuisson et sur un foyer de cuisson plutôt que dans le four lui-même. Cette opération de réhydratation et de reconstitution de la sauce qui accompagne la viande est appelée en cuisine « le déglaçage ».
Le sel : tout comme le déglaçage, mieux vaut saler les viandes en fi n de cuisson. Le sel saupoudré en début de cuisson supprime des éléments nutritifs essentiels et facilite la production de salissures. Dans certains cas, comme la cuisson des volailles par exemple, le sel sera introduit à l’intérieur de la volaille avant l’enfournement.
LES FOURS
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> Quelle programmation pour quel cuisinier ?
Depuis plusieurs années, les fours multifonction intègrent une électronique dédiée à la maîtrise des températures souhaitées. Avantages : une qualité de cuisson optimale et des économies d’énergie.
Cette électronique est également exploitée pour offrir des fonctions de gestion de base tels que la préconisation de températures, l’affi chage des données, la programmation de départs différés…
Aujourd’hui l’évolution de l’électronique permet de proposer des fours intelligents et conviviaux. Ainsi, les fours multifonction sont, pour les débutants comme pour les chefs, de véritables aides culinaires :
En cuisson assistée, le bandeau de commandes
préconise la température en fonction du mode de cuisson sélectionné.
De plus, de nombreuses recettes sont pré-program-
mées : il suffi t de valider le poids et le four gère tous les paramètres de cuisson. Il est aussi possible de personnaliser ses recettes favorites.
En cuisson automatique, le four propose une dizaine de
recettes 100% automatiques. Il suffi t d’en sélectionner une et le four gère seul tous les paramètres de cuisson.
Selon le type d’aliment à cuire, le four indique l’accessoire
à utiliser et la position de gradin la plus appropriée.
L’écran du bandeau de commandes permet l’affi chage des modes de cuisson avec des textes en clair. Peuvent
également s’affi cher des icônes animées permettant de visualiser la fonction de cuisson en cours.
LE SAVIEZ-VOUS ?
Côté maintenance, il n’est plus besoin aujourd’hui de « sortir » le four pour réparer le programmateur. Il est équipé d’une carte mère placée juste derrière le bandeau de commandes qu’il suffi t de remplacer pour dépanner l’appareil.
> Quel système de nettoyage pour quels résultats ?
Technique la plus utilisée en France, la pyrolyse est un cycle de nettoyage qui détruit les projections de sucres et de graisses à très haute température (500°C). Seules quelques cendres restent à enlever d’un simple coup d’éponge.
Il existe différents modes de pyrolyse qui sont souvent pré-programmés :
économique (environ 60 min), préconisé pour les fours peu sales, et notamment pour éliminer les odeurs de cuisson d’un poisson avant de cuire une tarte par exemple.
moyenne (environ 90 min), utilisé dans la majeure partie des cas.
intensive (jusqu’à 120 min), particulièrement adapté pour les fours les plus sales, après la cuisson d’une dinde ou d’un chapon de Noël…
Depuis peu de temps, une pyrolyse intelligente est proposée : l’appareil détermine lui-même le mode de pyrolyse nécessaire en fonction du degré de salissure du four. Cela permet d’obtenir un résultat optimal tout en limitant la consommation d’énergie.
LE SAVIEZ-VOUS ?
Certains fours sont équipés d’une hotte catalytique intégrée dans le raccord d’évacuation des fours. Elle élimine les graisses
évacuées dans l’air chaud du four et réduit les odeurs désagréables. Elle détecte même le degré d’encrassement sur les modèles les plus perfectionnés et détermine ainsi la durée de la pyrolyse.
La catalyse détruit les projections de graisses par oxydation pendant la cuisson des plats au-dessus de
180°C. La catalyse peut aussi s’effectuer par la mise en marche du four au maximum de sa température pendant
10 à 15 min après chaque utilisation. Il est conseillé après chaque cuisson de laisser fonctionner le four pendant 10
à 15 min afi n de régénérer les parois catalytiques. Depuis peu, il existe une catalyse inaltérable, plus économique et qui ne nécessite pas de poursuivre la cuisson.
Les fours dits à émail lisse appellent au nettoyage manuel du four. L’émail doit être entretenu régulièrement par l’utilisateur à l’aide d’un détergent doux ou d’une
éponge. Les fabricants du GIFAM travaillent sans cesse pour améliorer la qualité de l’émail pour assurer une plus grande facilité de nettoyage. Les recherches actuelles tendent à la réalisation d’un émail ultra-lisse.
L’hydrolyse, que l’on peut trouver sur certains fours, est une aide au nettoyage manuel. Le mode d’emploi est simple : après avoir versé 1/3 de litre d’eau dans la sole et ajouté un peu de liquide vaisselle, on met le four en marche à 60°C pendant 4 minutes seulement. Pas de chauffage intensif, mais une évaporation en douceur des salissures pendant une quinzaine de minutes.
LE SAVIEZ-VOUS ?
70% des fours du marché français sont à pyrolyse.
Une pyrolyse revient 10 fois moins cher qu’un nettoyage manuel, soit environ le prix d’un timbre poste. Le nettoyage par pyrolyse consomme environ 3kWh, soit en heure pleine environ 0,32 euros et en heure creuse
0,20 euros.
La pyrolyse revêt un aspect sécurité important : la porte du four se bloque pendant le nettoyage et se débloque automatiquement une fois l’opération terminée.
Une grande majorité des fours des fabricants du GIFAM proposent un gril abattable pour faciliter l’entretien de la voûte.
> Quels accessoires, pour quels bénéfi ces ?
A l’heure actuelle, quasiment tous les fours sont vendus équipés d’une plaque lèchefrite (métal ou émaillée) et d’une grille, accessoires indispensables. Le tournebroche est lui aussi très souvent proposé en série. Mais il existe un grand nombre d’accessoires dédiés à différents types de préparations culinaires.
Les accessoires qui
aident à la cuisson
Une pierre à pain et à pizza préserve le fondant des garnitures et rend la pâte croustillante. Les préparations cuisent par contact direct avec la pierre réfractaire ayant emmagasiné une forte chaleur.
Une plaque à pâtisserie optimise la cuisson des tartes et gâteaux, pour leur conserver leur moelleux.
Des plats à rôtir, pour la cuisson des grosses pièces de viandes, les volailles…
Une sonde thermométrique, plantée au cœur des aliments, permet d’en contrôler à tout moment la température. C’est particulièrement utile pour déterminer la fi n de cuisson des viandes rouges, notamment si elles
étaient encore congelées au moment de la cuisson. Les fours peuvent être programmés pour arrêter la cuisson sitôt la température souhaitée atteinte.
Un cuiseur vapeur permet de transformer son four en four vapeur. Pour un repas complet et équilibré, le cuiseur accueille jusqu’à trois plats simultanément.
Des plats en silicone souple qui simplifi ent le démoulage.
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Les accessoires
de soutien et de sortie des plats
Certains fours sont équipés de rails télescopiques qui facilitent l’accessibilité aux préparations et la préhension des plats. Ces rails permettent une extraction à 100% des grilles et plateaux sans risque de basculement.
On trouve également des tiroirs télescopiques qui regroupent plusieurs rails coulissants et indépendants.
> Une tendance qui s’impose : le four vapeur
Alimentation saine et équilibrée, saveur, parfum et texture des aliments préservés, vitamines et oligo-éléments conservés…
La cuisine vapeur est très appréciable et s’inscrit aujourd’hui dans un véritable mode de vie. Pour répondre à cette attente, les membres du GIFAM ont créé les fours vapeur.
Conçus pour produire de la vapeur douce (pression saturée à 100°C), le four vapeur se compose d’une enceinte de cuisson innovante à laquelle est associé un réservoir d’eau d’une contenance de plusieurs litres. Ce procédé assure de
hautes qualités de cuisson. En effet, cuire à la vapeur permet de : réaliser une cuisine légère, sans adjonction de corps gras, saine et diététique ; conserver totalement intacts couleurs, moelleux et goût des aliments ; limiter la perte de poids, vitamines et sels minéraux des aliments ; empêcher la surcuisson des légumes à durée de cuisson différentes et ainsi simplifi er la préparation des plats. Par exemple, les courgettes resteront parfaites et sans dessèchement jusqu’à la fi n de la cuisson des pommes de terre ; cuisiner dans un même plat différents aliments sans mélanges d’odeurs ni de saveurs ; développer le moelleux des viandes blanches (lapin, poulet, dinde…) et des poissons ; réaliser des desserts (excepté les pâtes feuilletées ou sablées) : clafoutis, île fl ottante, crèmes, compotes de fruits…
Pour un confort d’utilisation optimal, le four vapeur possède de nombreux atouts :
Pour produire la vapeur, il suffi t de sélectionner la durée de cuisson et la température souhaitée. La vapeur sature l’enceinte en quelques minutes et permet la cuisson des aliments.
Pour un confort d’utilisation accru, le contrôle du niveau d’eau est aisé grâce aux diodes lumineuses placées sur le bandeau du four.
Les fours vapeur peuvent être équipés d’une fonction réchauffage, utile notamment pour les aliments qui ont tendance à dessécher.
Livrés avec le four, un ou plusieurs plats équipés de grilles perforées permettent d’éviter tout contact entre les aliments et l’eau de condensation.
Pratique, le four vapeur accepte tous types d’ustensiles de cuisson (verre, fonte, aluminium, terre cuite, porcelaine…)
Aucune projection n’étant produite lors de la cuisson, le four vapeur s’entretient facilement d’un simple coup d’éponge.
LE SAVIEZ-VOUS ?
Le four vapeur autoclave fonctionne sur le mode de la cocotte minute. La cuisson des aliments se fait par injection dans l’enceinte du four de vapeur sous haute pression dont la température peut varier de 50°C à 120°C.
> Et si on parlait sécurité ?
Conscients des attentes en matière de sécurité, les fabricants du GIFAM mettent en oeuvre des solutions effi caces pour garantir toujours plus de sécurité aux utilisateurs. Les appareils mis sur le marché répondent à des exigences de
sécurité et des normes strictes.
Pour un plus grand confort d’utilisation et une grande sérénité, les fabricants du GIFAM proposent des fours pyrolyse « porte froide », identifi és par un logo commun.
L’utilisation de ce logo garantit la conformité de
l’appareil au cahier des charges fi xé par les fabri-
cants membres du GIFAM. La température maximale de la porte ne doit pas dépasser : 75°C pour le plastique,
70°C pour le verre, 65°C pour l’émail et 60°C pour l’inox et l’aluminium.
L’appareil à porte froide est conseillé aux jeunes parents, grands-parents, nourrices et à toute personne susceptible d’accueillir de jeunes enfants.
Autour de 300°C, la porte du four se bloque automa-
tiquement pour éviter les brûlures.
Certains fabricants du GIFAM proposent des défl ecteurs qui servent à protéger le gril, limitant ainsi les brûlures.
Il est aussi possible de bloquer volontairement les
fonctions du bandeau de commandes pour éviter les mises en marche intempestives.
De nombreux fours proposés par les fabricants du
GIFAM sont équipés de systèmes sophistiqués
d’arrêts anti-basculement. Ces systèmes permettent de bloquer plaques et grilles en fi n de course à la sortie du four. Stabilisées, elles ne peuvent basculer sous le poids de la préparation.
Les fours actuels disposent d’une isolation renforcée et d’un système de ventilation optimisé. De ce fait, ils peuvent s’installer en toute sécurité en colonne ou sous plan.
> A, B ou C... Quelles sont les classes énergétiques ?
La comparaison de la consommation énergétique des fours est devenue aujourd’hui très facile grâce à l’étiquette
énergie.
Selon la directive européenne en vigueur sur la consommation d’énergie (Directive Européenne 2002/40/CE), les classes d’effi cacité énergétique allant de A à C comprennent les fours économiques et très économiques.
La classe D correspond à une consommation d’énergie moyenne et celles de E à G à une consommation élevée.
Les fabricants du GIFAM ont beaucoup investi dans la conception et, notamment dans l’isolation de leurs fours. Ainsi, aujourd’hui, la grande majorité des
fours proposés par les membres du GIFAM sont
classés A.
LE SAVIEZ-VOUS ?
Selon les valeurs actuelles, la plupart des fours du marché au milieu des années 90 auraient été classés C ou D.
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LES FOURS
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> Quelles sont les déclinaisons ergonomiques et esthétiques actuelles ?
En matière d’ergonomie, le four tend à s’adapter aux différentes confi gurations des cuisines et aux différentes envies.
A côté des traditionnelles porte abattantes, l’offre de
portes latérales s’affi rme. Elle se décline charnière
à gauche ou charnière à droite. L’angle d’ouverture à
180° autorise une accessibilité maximale à l’enceinte du four.
Le four tiroir trouve, quant à lui, naturellement sa place sous un plan de travail pour un accès facilité. Le tiroir coulisse sur deux rails robustes pour permettre d’accéder facilement aux préparations.
Dernière innovation marquante : la porte peut coulis-
ser sous le four pour un accès direct à l’enceinte et la poignée pivotante suit les mouvements de la main pour une parfaite maîtrise de l’ouverture et de la fermeture de la porte.
La surface vitrée de plus en plus importante des portes offre une visibilité optimisée de l’intérieur du four.
La visibilité est encore améliorée grâce à un travail sur
l’éclairage. Celui-ci peut être simple, double, à néon ou halogène.
Tout en conservant des dimensions d’encastrement standard, le volume des fours s’est agrandi, pouvant aller jusqu’à 60 litres. Avantages : plus de place pour plus de préparations.
En dehors des dimensions standard d’encastrement, il existe des fours de 90 cm de largeur. Ces fours permettent la cuisson de préparations de grande taille, de grands poissons…
En matière d’esthétique, l’offre s’articule autour de la notion de « Family Line » : fours, tables de cuisson et hottes se coordonnent pour une parfaite harmonie. Le choix esthétique s’est élargi pour toujours mieux s’intégrer dans les différents styles de cuisines, du plus classique au plus contemporain. Ainsi, à côté des traditionnels noir
et blanc, l’inox est devenu incontournable.
LE SAVIEZ-VOUS ?
Les disparités européennes :
En France, les fours inox représentent 10% du marché, alors que la moyenne européenne est aux alentours de 70%.
Les fours en émail blanc représentent 40% du marché, alors qu’ils ne sont quasiment pas distribués dans les autres pays européens.
les tables de cuisson
Une offre diversifi ée…pour tous les goûts
Deux énergies seulement et pourtant le choix d’une multitude de tables de cuisson : induction, halogène, radiant, gaz, mixte, domino… Cuisson vive, pour saisir une viande, ou mijotage long, pour les préparations en sauce, bœuf en daube, osso bucco… Les nouvelles tables de cuisson assurent aujourd’hui la réussite de toutes les recettes. Côté esthétique, l’harmonie est au rendez-vous. Les tables s’habillent d’émail, d’inox ou de verre, dans un esprit de gamme avec les fours et les hottes.
> Les tables à induction : une technologie maitrisée
Quel principe de fonctionnement ?
Le principe de l’induction repose sur le chauffage direct du fond du récipient grâce au champ magnétique créé par un dispositif placé sous la zone de cuisson. La chaleur ainsi produite se transmet ensuite normalement aux aliments.
1.
L’inducteur génère un champ magnétique lorsqu ’il est alimenté par un courant électrique.
2.
Sous l’effet de ce champ magnétique, un courant
« induit » est créé dans le fond du récipient et chauffe le récipient.
3.
Les aliments montent en température par contact avec le récipient.
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LE SAVIEZ-VOUS ?
Toutes les tables conçues par les fabricants du GIFAM respectent la réglementation relative à la compatibilité Electro Magnétique (CEM).
Comment installer une table à induction ?
Les tables à induction sont désormais adaptées aux
L’épaisseur a été considérablement réduite (en moyenne
5,5 cm) pour rendre l’installation encore plus aisée.
Les tables à induction peuvent s’installer n’importe où
dans la cuisine. Cependant, pour des raisons de sécurité, les fabricants du GIFAM déconseillent l’installation d’une table à induction au-dessus d’un lave-vaisselle sans utilisation d’un kit d’isolation. De même, l’installation est contre-indiquée au-dessus d’un four non ventilé sans kit d’isolation.
LES TABLES DE CUISSON
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Quelles sont les performances garanties par les tables à induction ?
Les tables de cuisson à induction proposées par les membres du GIFAM disposent de foyers indépendants
de forte puissance, pouvant aller de 50 W à 4000 W.
Grâce à ces puissances élevées et à un meilleur rendement, les tables à induction réduisent considérablement les durées de chauffage, d’où des gains de temps très appréciables.
Elévation de la température de 2 litres d’eau de 20 à 95°C
L’inertie thermique est nulle : dans le récipient, la tempé-
rature monte et descend instantanément.
Chaque foyer offre différentes positions de cuisson pour un réglage très fi n, pas à pas, de l’intensité. Les cuissons les plus courantes sont pré-programmées pour un accès direct.
Les touches sensitives facilitent le nettoyage de la surface : un coup d’éponge suffi t ! En outre, étant donné l’absence de transmission de chaleur entre le foyer et la casserole, la surface de la table n’est jamais très chaude : aucune
surcuisson autour du récipient (pas d’huile qui fume, pas de lait qui accroche…).
LE SAVIEZ-VOUS ?
La très grande majorité des batteries de cuisine traditionnelles (acier émaillé, fonte, fonte
émaillée, inox multicouches, inox ferriques, aluminium avec fond ferromagnétique) sont compatibles avec une table de cuisson à induction.
Seuls sont exclus les récipients en verre, en cuivre, en inox classique et en l’aluminium pur.
Il suffi t d’un aimant pour vérifi er la compatibilité : si l’aimant reste accroché au-dessous de la casserole, elle est compatible !
Le logo « Class induction » garantit cette compatibilité.
Il résulte d’importantes économies d’énergie : de 40 à
60% par rapport aux autres sources d’énergie
Quelle sécurité assurée ?
Grâce à l’électronique intégrée dans les tables à induction, les membres du GIFAM ont développé des packs sécurité
très complets :
Sécurité enfant : ce mode verrouille toutes les fonctions de la table de cuisson. Ainsi, il est impossible de mettre en marche la table ou de modifi er les paramètres de la cuisson en cours.
Sécurité récipient : équipés d’un système de détection, les foyers s’éteignent automatiquement dès que l’on retire le récipient de cuisson. Inversement, les foyers ne peuvent être mis en marche que si la zone de cuisson est suffi samment recouverte par le récipient. De plus, si le récipient est absent ou ne convient pas, la table le signale à l’aide d’un voyant lumineux et le foyer ne démarrera pas la cuisson.
Sécurité anti-surchauffe : la puissance et la température s’abaissent automatiquement en cas de surchauffe de la zone de cuisson.
Sécurité anti-débordement : si un liquide déborde et atteint le bandeau de commandes, la table de cuisson s’arrête automatiquement.
Témoins chaleur résiduelle : chaque foyer est équipé d’un témoin qui informe, après arrêt de la cuisson, de la présence de chaleur résiduelle.
Cette sécurité permet de savoir quand la table est encore chaude et prévient ainsi les risques de brûlures.
Sécurité temps maxi : en cas d’oubli, la table de cuisson est désactivée automatiquement au bout de quelques heures de fonctionnement.
Quelles sont les dernières avancées en matière d’induction ?
Ce que les utilisateurs attendent aujourd’hui d’une table à induction, c’est une cuisson à la carte, adaptée à leurs besoins quotidiens et à leurs envies particulières. Dans ce domaine, l’induction est un véritable laboratoire de nouvelles
technologies. Aujourd’hui, les tables à induction proposent des fonctions qui rendent le quotidien plus agréable :
Pour répondre à tous les besoins, les tables à induction sont de plus en plus souvent proposées avec des
foyers de grand diamètre (jusqu’à 28 cm), idéals pour accueillir une grosse cocotte, une poêle à paëlla…
Elles peuvent être équipées d’une touche « Booster ».
Avantages : saisir les préparations et porter les gros volumes d’eau à ébullition en un temps record. Le gain de temps est considérable.
Fonctionnels, les minuteurs électroniques permettent de cuisiner l’esprit libre : le temps de cuisson idéal peut
être programmé sur chaque foyer. Une fois ce temps
écoulé, un signal sonore retentit et le foyer se coupe automatiquement.
Pour s’adapter à tous les modes de cuisson, les foyers
à induction sont également étudiés pour accepter les récipients spécifi ques, tel que le Wok.
Côté ergonomie, l’innovation touche la forme même de la table de cuisson. Ainsi, on voit apparaître sur le marché des tables de cuisson à induction rondes, ou conçues pour s’adapter à un angle du plan de travail.
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LE SAVIEZ-VOUS ?
On a tendance à confondre l’induction et la vitrocéramique. Pourtant, ces termes désignent deux aspects très différents d’une table de cuisson : l’induction est une technologie de cuisson, comme l’halogène. La vitrocéramique est la matière dans laquelle est fabriqué le verre de la table de cuisson.
LES TABLES DE CUISSON
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> Les tables vitrocéramiques radiants ou halogènes
Quel principe de fonctionnement ?
Contrairement à l’induction, les tables vitrocéramiques radiants ou halogènes fonctionnent sur le principe de la
conduction de chaleur.
Les foyers halogènes mixtes permettent une montée rapide en température.
Ils sont ainsi adaptés aux cuissons vives, comme saisir la viande ou faire des fritures par exemple.
Ils réunissent une lampe halogène circulaire combinée à un radiant central garantissant une bonne répartition de la chaleur.
LE SAVIEZ-VOUS ?
Aujourd’hui, la majorité des tables vitrocéramiques associent des foyers halogènes et des foyers radiants afi n de répondre à tous les besoins de cuisson, aussi bien cuissons vives que mijotages.
Les foyers radiants sont spécialement adaptés aux mijotages et aux cuissons longues (blanquette, osso bucco, bœuf en daube…). Les foyers radiants font bénéfi cier les préparations d’une grande stabilité de maintien de température.
Il existe deux types de radiants, différenciés par la forme de la résistance qui les compose :
Les radiants simples sont composés d’un fi lament tungstène plat. Le rougeoiement de la plaque apparaît en 20 secondes.
Les radiants rapides sont constitués d’un fi lament tungstène en accordéon qui augmente la rapidité de conduction. L’apparition de la couleur rouge dans la zone de cuisson se fait en 3 secondes.
Quelles sont les fonctionnalités offertes ?
Pour s’adapter à tous les types de casseroles et toutes les préparations, les tables vitrocéramiques présentent également une grande diversité de foyers de cuisson. Simples, doubles ou triples, ils peuvent également être extensibles, ronds ou ovales, pour accueillir de grands plats.
Grâce à l’électronique qui les équipe, les tables vitrocéramiques disposent de fonctions pré-programmées pour une utilisation toujours plus intuitive. Il est ainsi possible de programmer la durée de cuisson ou de procéder à un préchauffage Booster.
Pour plus de sécurité, elles sont équipées d’un système anti-surchauffe, d’une fonction verrouillage de clavier et de témoins de chaleur résiduelle.
Les bandeaux de commandes sont équipés de manettes
multipositions. Mais pour une utilisation plus aisée, les fabricants du GIFAM développent également les touches sensitives. L’absence de manettes libère ainsi l’espace de cuisson et l’entretien s’en trouve facilité.
Résistante aux chocs, la surface lisse des tables vitrocéramiques est également d’une grande facilité d’entretien.
Une fois débarrassée des salissures grâce au grattoir prévu à cet effet, une éponge humide, imbibée d’un détergent doux suffi t pour la nettoyer.
IDEES RECUES
L’idée selon laquelle on peut cuire des aliments directement sur la zone de cuisson sans récipient est complètement fausse.
C’est au contraire très dommageable car les températures très élevées des zones de cuisson brûlent l’aliment.
> Les tables à gaz
Le gaz demeure l’énergie la plus répandue : près de 60% des foyers français sont aujourd’hui équipés en tables gaz.
Les tables gaz sont les produits les plus anciens du marché. Ils offrent également de nombreuses innovations techniques,
esthétiques et ergonomiques.
Brûleur et allumage : comment ça marche ?
Le gaz est projeté par l’injecteur à une pression déterminée. C’est ce mélange gaz et air qui pénètre dans le chapeau du brûleur. Il s’enfl amme à la sortie des trous du chapeau. Il existe sur le marché trois types d’allumages différents :
Avec l’allumage automatique « une main », la commande de l’allumage se fait par un système intégré aux manettes d’ouverture des robinets gaz. La grande majorité des tables du marché propose ce type d’allumage.
Avec l’allumage électronique « deux mains », la commande d’allumage est activée par pression d’un bouton indépendant.
En allumage manuel, l’utilisateur enfl amme le mélange air gaz à l’aide d’une allumette ou d’un allume-gaz
électrique.
1 > AIR SECONDAIRE
2 > CHAPEAU DE BRULEUR
3 > TETE DE BRULEUR
4 > MELANGE GAZ+AIR
5 > CORPS DE BRULEUR
6 > AIR PRIMAIRE
7 > INJECTEUR
8 > ALLUMEUR
Comment bien installer une table gaz ?
Sur le marché, on trouve couramment deux types de gaz : le gaz naturel distribué par le réseau et les gaz liquéfi és, propane et butane, généralement distribués en bouteille ou en citernes.
Les tables gaz s’adaptent facilement à ces types de gaz.
Elles se raccordent très simplement grâce à un tuyau à embout vissable pour une sécurité maximale. Les tuyaux inox ont une durée de vie illimitée. Les autres types de tuyaux doivent être changés régulièrement, au bout d’un an, 2 ans, 5 ans, 10 ans ou à vie. La date de péremption inscrite sur le tuyau ne doit pas être dépassée.
CONSEILS D’EXPERT
Avant tout branchement, il est utile de se renseigner sur le type de gaz distribué. En effet, il existe d’autres types de gaz, distribués localement par réseau.
En électroménager intégrable, les constructeurs du GIFAM préconisent le choix d’un tuyau de raccordement garanti à vie.
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LES TABLES DE CUISSON
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Quel brûleur pour quelle puissance ?
Actuellement, la taille des brûleurs varie de 4 à 13 cm. Leur puissance est conditionnée par leur taille.
La puissance minimum de 0,85 kW est idéale pour mitonner longuement une blanquette de veau. Le brûleur double couronne de 5 kW montre sa pleine effi cacité pour exalter les saveurs exotiques des cuisines du monde.
Parmi les fabricants du GIFAM, certains proposent également sur le marché des brûleurs à triple voire quadruple couronne, pour encore plus de puissance, d’homogénéité de cuisson et une régulation plus fi ne des températures.
LE SAVIEZ-VOUS ?
Un brûleur bouché par exemple réduit d’autant les performances de cuisson et peut s’avérer dangereux. Aussi, quelle que soit leur taille, les brûleurs proposés par les membres du GIFAM sont facilement démontables pour un nettoyage plus aisé.
Quelle grille pour la meilleure stabilité ?
Les grilles de cuisson, à la fois esthétiques et d’une grande stabilité, s’adaptent à la largeur du foyer.
Elles peuvent être mono ou multifoyers, en acier émaillé ou brut, ou encore en fonte pour plus de solidité et de stabilité.
Amovibles, elles sont faciles d’entretien. Les grilles émaillées sont même lavables au lave-vaisselle.
La sécurité : l’indispensable thermocouple
Le thermocouple est l’organe de sécurité absolue du brûleur à gaz. Son rôle est de s’assurer de la présence réelle de la fl amme. Dans le cas où la fl amme s’éteint, quelle qu’en soit la raison (courants d’air, débordements importants, etc…), il coupe l’arrivée de gaz.
L’activation du thermocouple est automatique lors de l’allumage. Il suffi t tout simplement de maintenir quelques secondes la manette appuyée. A partir de cette manœuvre, le brûleur fonctionne sous contrôle du thermocouple.
Pour toujours plus d’effi cacité, les fabricants du GIFAM ont développé un thermocouple instantané, qui évite le maintien en position appuyée à l’allumage.
Avec les tables gaz, bénéfi cie-t-on d’un large choix de matériaux et de coloris ?
Les tables gaz peuvent revêtir deux supports :
L’acier émaillé ou inoxydable est le meilleur support pour exprimer l’esthétique car les formes peuvent être variées et, grâce aux émaux, les couleurs sont illimitées. Les fabricants du GIFAM proposent des émaux fi ns mais très résistants aux chocs.
Le verre trempé représente 12% du marché des tables. Généralement son épaisseur est de 4 à 8 mm.
La vitrocéramique représente 21% du marché. Son
épaisseur est de 4 mm. Le verre trempé et la vitrocéramique peuvent être biseauté ou droit, avec cadre ou sans cadre. Les formes sont variées et les couleurs proposées sont : le noir, le blanc, le gris et le miroir.
Quelles sont les dernières innovations incontournables ?
Certaines tables gaz sont équipées d’un minuteur qui permet de programmer la durée de cuisson. Une fois le temps écoulé, le brûleur s’éteint automatiquement et la cuisson est stoppée.
Les commandes, traditionnellement à manettes, évoluent vers les touches sensitives à contrôle électronique. Simples d’utilisation, elles facilitent le nettoyage de la table de cuisson.
Les fabricants du GIFAM ont développé des brûleurs
spécifi ques Wok. Très puissants (au minimum 3500 W), ils permettent une montée en température très rapide pour cuire aisément les grandes quantités. Ils peuvent
également recevoir les grandes casseroles et les faitouts.
Pour plus de sécurité, les fabricants du GIFAM équipent leurs tables électroniques d’indicateurs de chaleur
résiduelle, ce qui minimise les risques de brûlures.
Côté ergonomie, les fabricants du GIFAM proposent des formes douces, tout en arrondis, pour faciliter le nettoyage.
LE POINT SUR : LES TABLES MIXTES
L’offre en matière de tables de cuisson est complétée par les tables mixtes. Elles permettent d’associer à la fois les différentes sources d’énergie (gaz et électricité) et les différentes technologies de cuisson (induction, radiant, halogène, gaz..).
On trouve sur le marché de nombreuses combinaisons : gaz + fonte; gaz + vitrocéramique, induction + vitrocéramique, induction
+ gaz…
> Les dominos
Il existe de nombreux types de dominos. Aux côtés des traditionnels dominos deux feux (gaz, radiant/halogène ou induction), on trouve désormais des dominos dédiés à un mode de cuisson spécifi que. Combinables de multiples façons, ils répondent aux attentes des gourmets les plus avisés :
Grâce au domino friteuse, frites, beignets, tempura de légumes… trouvent désormais dans la cuisine leur espace de cuisson dédié.
Le domino Wok, équipé d’un brûleur spécifi que, permet de cuire viandes et légumes dans un récipient de type
Wok. Grâce à lui, les saveurs du monde font leur entrée dans la cuisine.
Le domino gril, qu’il soit en fonte émaillé ou équipé d’une résistance sous un plateau vitrocéramique assure de délicieuses grillades, classiques, comme la côte de bœuf, ou délicates, comme les poissons ou les émincés, par exemple.
Le domino Teppan Yaki est adapté à la cuisson traditionnelle à la japonaise. Il permet la cuisson des viandes, poissons et légumes avec les avantages du gril ou de la
« plancha ».
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LES TABLES DE CUISSON
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> Quelles sont les tendances esthétiques et ergonomiques actuelles?
En terme d’esthétique, les tables de cuisson suivent la tendance générale de l’électroménager encastrable : le
« Flat » (le Plat), voire « l’ultra Flat ». Il s’agit de réduire au maximum l’épaisseur au-dessus du plan de travail pour permettre à l’appareil de se fondre dans l’ambiance de la cuisine.
La tendance matériau est à l’inox, aussi bien pour les tables gaz que pour les tables vitrocéramiques, enchâssées dans un cadre inox. A noter que cet engouement pour l’inox existe depuis quelques années déjà dans de nombreux pays européens.
La tendance actuelle est aux bandeaux de commandes
frontaux, développés parallèlement aux bandeaux latéraux. Cette ergonomie a l’avantage d’optimiser l’espace de cuisson et permet d’accéder aisément aux commandes de chaque foyer de cuisson. Cette confi guration protège
également les manettes d’éventuelles projections en cours de cuisson
En terme d’ergonomie, la tendance est aux tables de
cuisson grande largeur, encastrables dans un espace standard. L’aspect et l’agrément grande largeur peut aussi être obtenu par la juxtaposition de différents dominos. A noter que dans ce cas, l’encastrement n’est plus standard.
les hottes
Aussi belles qu’effi caces…
Faire de la cuisine un espace de vie où il fait bon vivre et respirer… Telle est la vocation des hottes.
Dotées de technologies avancées, les nouvelles hottes confi rment leur rôle en offrant plus de discrétion, de beauté et de confort d’utilisation.
> Quels sont les différents modèles de hottes ?
Les décoratives sont très appréciées pour leurs atouts esthétiques. Elles peuvent être fi xées à un mur ou installées en îlot central. La grande diversité de leurs formes, de leurs matériaux et de leurs couleurs (inox, aluminium, blanc, noir, verre ou mélange d’inox et de verre par exemple), permet de les coordonner avec les fours et les tables de cuisson dans un esprit de gamme. Elles peuvent diffuser une lumière directe ou indirecte et sont disponibles en largueurs de 60, 90, 100, 120 et 150 cm.
Les groupes d’aspiration ou groupes fi ltrants sont prévus pour être incorporés dans des cheminées décoratives ou des éléments hauts de meubles de cuisine. Ils s’encastrent avec discrétion pour respecter le style de la cuisine. Ils existent en 55, 70, 75 et 85 cm de largeur.
Pour couvrir parfaitement les tables de cuisson et apporter la puissance d’aspiration nécessaire, il est possible de juxtaposer les groupes dans un même élément d’encastrement.
Les visières sont des modèles pratiques et économiques qui s’installent facilement. Elles sont disponibles en 60 et
90 cm.
Les encastrables (tiroirs ou escamotables)
Les hottes tiroirs s’encastrent dans un élément haut qui dissimule le moteur et laisse un espace de rangement généralement utilisé pour le stockage des épices et condiments. Son tiroir coulissant permet de mettre en marche la hotte. Lorsque qu’elle n’est pas en action, seul le bandeau de la hotte reste visible.
Les hottes escamotables se placent dans un élément haut de cuisine, derrière une porte assortie. Il suffi t de l’entrouvrir pour lancer l’aspiration. L’avantage de ce modèle est d’offrir un « avaloir » effi cace lors de son utilisation et de se faire totalement oublier lorsqu’il ne fonctionne pas.
Les hottes tiroirs et escamotables existent en 60 et 90 cm de largeur.
Dans l’offre des fabricants adhérents au GIFAM, on trouve des innovations qui apparaissent comme les tendances ergonomiques et esthétiques du moment :
Les hottes de plan de travail :
Les extracteurs de plan se présentent sur la forme d’un aérateur télescopique et pivotant, réglable en hauteur pour s’ajuster à la taille des casseroles. Après utilisation, ils se rangent en toute discrétion dans un emplacement dédié à côté de la table de cuisson.
Les défl ecteurs des aérateurs de plan s’élèvent sur les côtés de la table de cuisson et captent les fumées
à l’endroit même où elles sont produites.
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LES HOTTES
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> Comment choisir sa hotte ?
Outre l’esthétique de la cuisine et le modèle de la hotte, il est nécessaire de prendre en compte : l’espace nécessaire à l’installation d’une hotte, le débit nécessaire du moteur.
Il existe deux types d’aspiration adaptés à chaque type de cuisine :
L’aspiration par évacuation extérieure
C’est le système le plus performant. Les fumées sont
évacuées par un conduit qui débouche à l’extérieur de la maison. Les fumées grasses sont d’abord purifi ées dans un fi ltre à graisses. Les odeurs et l’humidité sont directement rejetées à l’extérieur.
L’aspiration par recyclage
On opte généralement pour cette solution lorsque l’évacuation extérieure est impossible. L’air transite par différents fi ltres : un fi ltre anti-graisses, puis des fi ltres à charbon actif pour traiter les odeurs résiduelles avant de rejeter l’air dans la pièce. A savoir : les hottes installées en recyclage perdent environ 25% de leurs performances.
Actuellement, la grande majorité des hottes fonctionne sur le mode d’aspiration par évacuation extérieure.
Le passage à une aspiration par recyclage se fait grâce à l’installation d’un kit fourni lors de l’achat.
Dans la plupart des cas, les fi ltres à charbon actif qui permettent l’assainissement de l’air de la cuisine sont fournis de série par les fabricants du GIFAM.
LE SAVIEZ-VOUS ?
Pour être effi cace, une hotte doit pouvoir renouveler 10 à 12 fois le volume d’air de la cuisine en une heure. Par exemple, le débit pour une cuisine de 15 m et de 3 m de hauteur devra être compris entre 450 m/h et 500 m/h.
Dans le cas d’une cuisine ouverte sur une autre pièce, la puissance devra tenir compte du volume total d’air à traiter.
Les bons conseils du GIFAM :
Une hotte doit toujours être un peu plus large que
le plan de cuisson, pour une meilleure aspiration des fumées latérales.
La hauteur d’installation d’une hotte est défi nie en fonction du type d’énergie de la table de cuisson. La réglementation en vigueur interdit l’installation d’une hotte à moins de 65 cm au-dessus d’une table de cuisson. Cette hauteur convient aux tables électriques, vitrocéramiques halogène et induction. Elle peut être augmentée jusqu’à 70/75 cm pour les tables gaz.
Il est important d’installer le tuyau d’évacuation le plus verticalement possible pour éviter le nombre de
coudes. En effet, un conduit trop long ou trop sinueux freine le débit d’air et réduit fortement la performance de la hotte.
Il est indispensable de respecter les diamètres de tuyau prévus par les fabricants pour leurs hottes. La réduction du diamètre du tuyau entraîne des pertes d’effi cacité et l’augmentation du niveau sonore.
Pour des questions de performance, mais aussi d’hygiène et de sécurité, il est nécessaire de consacrer
à l’évacuation des fumées de cuisson un conduit différent de celui d’une cheminée ou du chauffage.
De même, il est formellement interdit de raccorder la hotte
à un conduit de VMC (Ventilation Mécanique Contrôlée).
Contrairement aux idées reçues, la puissance des moteurs n’est pas un facteur de détérioration du confort acous-
tique. La qualité et la conception du moteur, la facilité de régulation des vitesses et l’utilisation de matériaux d’insonorisation garantissent une isolation phonique effi cace. L’installation d’un moteur à distance, dans les combles ou à l’extérieur de la maison, apporte une solution optimale.
LE SAVIEZ-VOUS ?
L’effi cacité d’une hotte dépend en grande partie de la qualité de son installation. Si tous les membres du GIFAM proposent des kits d’installation composés de systèmes d’équerres qui permettent à chacun de monter une hotte dans sa cuisine, les conseils d’un installateur professionnel demeurent une garantie de qualité et de sécurité.
> Comment bien entretenir sa hotte ?
L’entretien régulier des fi ltres est absolument indispensable au bon fonctionnement de la hotte dans le temps.
Les fi ltres à graisses permettent de retenir une très grande partie des particules de graisse dont les vapeurs de cuisson sont chargées. Ils peuvent être métalliques ou en papier, jetables après utilisation. Les fi ltres métalliques peuvent être lavés avec un dégraissant ordinaire ou au lave-vaisselle, en moyenne tous les deux mois. La majorité des fi ltres à graisses proposés par les fabricants du GIFAM sont lavables au lave-vaisselle.
Les fi ltres à charbon actif, qui équipent les hottes en version recyclage, permettent de purifi er l’air des odeurs désagréables générées par la cuisson. Pour qu’ils soient effi caces, il faut les remplacer en moyenne tous les quatre mois. Il existe des fi ltres à charbon « long life », à remplacer tous les trois ans environ.
La carrosserie de la hotte doit être nettoyée une à plusieurs fois par mois avec un détergent doux et une éponge.
Les hottes en inox requièrent l’application d’un produit spécial inox, pour préserver l’éclat du matériau.
L’installation d’un panneau de crédence entre la plaque de cuisson et la hotte protège le mur d’encastrement des projections et résidus de fumées et permet un nettoyage plus facile de l’espace de cuisson.
LE SAVIEZ-VOUS ?
Sur de nombreuses hottes proposées par les fabricants du GIFAM, des témoins de saturation informent qu’il faut procéder au nettoyage des fi ltres à graisses et au remplacement des fi ltres à charbon actif.
Le corps des hottes proposées par la grande majorité des fabricants du GIFAM reçoit un traitement anti-corrosion qui assure une longévité maximum à l’appareil. Grâce aux matériaux utilisés, fi ables et résistants, au moteur protégé contre les graisses, l’effi cacité de l’aspiration est optimale.
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LES HOTTES
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> Quelles sont les fonctions proposées par les bandeaux de commandes ?
Les bandeaux de commandes des hottes peuvent être mécaniques ou électroniques, avec des manettes, des touches digitales ou sensitives. Équipés d’un écran à affi chage digital, ils affi chent les informations sur l’aspiration en cours à l’aide de pictogrammes ou en textes clairs.
Pratiques et conviviaux, les bandeaux de commande facilitent l’accès et l’utilisation des différentes fonctions de la hotte :
Il est possible, grâce au variateur, de choisir et de
moduler la puissance d’aspiration de la hotte. Les variateurs électroniques permettent des niveaux de réglage très précis.
Le Booster temporisé permet d’obtenir la puissance maximum de 5 à 15 minutes environ. La hotte revient ensuite automatiquement sur son niveau de réglage précédent.
La fonction éclairage dispose d’une commande séparée de la mise en fonctionnement de la hotte. Pour plus de confort dans l’éclairage de son plan de travail, l’utilisateur a le choix entre différents éclairages : par lampe, d’une puissance de 40W, ou par halogène, avec une puissance de 20W.
LE SAVIEZ-VOUS ?
Quelle que soit la puissance de la hotte, pour une bonne aspiration, il convient de mettre la hotte en marche 5 minutes avant la cuisson et de la laisser fonctionner 10 minutes après l’arrêt de la cuisson. Cela évite la stagnation des fumées et des odeurs. Certaines hottes y procèdent automatiquement grâce à la fonction « Arrêt différé » ou « Arrêt temporisé ».
> Quelles sont les tendances ergonomiques et esthétiques actuelles ?
En matière d’ergonomie, les hottes tendent à offrir un confort et une praticité de plus en plus larges :
Les hottes actuelles permettent une aspiration péri-
mètrale : les fumées et vapeurs sont dirigées vers les bords de la hotte grâce à un panneau en inox. Elles sont ensuite aspirées tout autour du périmètre intérieur de la hotte. Cette technique assure des performances accrues : capture optimale des fumées grasses, réduction du bruit et fi ltres à graisses protégés du feu.
Certains modèles peuvent être activés par télécom-
mande. D’autres, sont équipés d’un système très élaboré de détection infrarouge des fumées. Dans ce cas, la hotte se met en marche automatiquement et la puissance d’aspiration s’adapte instantanément à la puissance de cuisson. On observe également un développement des hottes à touches sensitives.
Cette avancée technologique se double d’une grande facilité d’entretien.
Certains modèles de hottes permettent un réglage
automatique du niveau d’aspiration, en fonction de la chaleur émise et de l’intensité des dégagements.
L’éclairage fait aussi l’objet de beaucoup d’attention : certains modèles offrent une variation de l’intensité de
la luminosité de la hotte. Elle participe ainsi à l’ambiance de la cuisine.
De tous les appareils de cuisson, les hottes sont les éléments qui permettent la plus grande liberté de personna-
lisation de son espace. Elles sont devenues la « touche » esthétique qui rend une cuisine différente d’une autre.
Les hottes sont proposées dans une grande diversité
de formes (trapèze, box, surmontées d’une cheminée ronde ou carrée allant jusqu’au plafond…), de modes d’installation (murale, en îlot, encastrée…) et de matériaux
(verre, inox, aluminium ou mélanges de matériaux…).
Coordonnées avec les autres éléments électroménagers encastrables, fours et tables de cuisson, les hottes véhiculent l’esprit de gamme. Les constructeurs du GIFAM proposent dans ce domaine de nombreuses lignes de produits, déclinées selon un style (moderne, sobre, traditionnel…) ou selon une harmonie de matières (verre, inox…).
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les chiffres du marché
> Les fours
Volumes :
En 2004, il s’est vendu en France 736 000 fours (+10%).
Les fours multifonctions pyrolyse ont enregistré une croissance de 9% par rapport à 2004.
La progression des fours multifonctions catalyse a été de 3%.
Répartition (en %) :
Taux d’équipement des foyers :
38,1% des foyers français sont équipés en fours encastrables
> Les tables de cuisson
Volume :
En 2004, il s’est vendu en France 1 300 000 pièces (+5%) dont 195 000 tables de cuisson à induction.
Répartition (en %) :
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La vitrocéramique et l’induction sont les deux segments qui progressent le plus même si le gaz reste l’énergie préférée des français.
Taux d’équipements des foyers :
Le taux d’équipement des foyers français en tables de cuisson est de 46%.
> Les hottes
Volume :
En 2004, il s’est vendu en France 1 million de pièces (+6%).
Répartition (en %) :
Même si les traditionnelles hottes visières représentent encore quasiment 35% du marché, la tendance actuelle est au
« pourvu qu’elle soit belle », avec une forte progression des hottes décoratives.
Taux d’équipements des foyers :
Le taux d’équipement des foyers français est d’environ 55, 4%.
SOURCES
Répartition : Données GFK – Mars 2005
Taux d’équipement : Données Sofres – Janvier 2004
LES CHIFFRES DU MARCHE
33
index
Les Fours
Accessoires de four
Air Brassé
Air pulsé
Catalyse
Chaleur tournante
Convection naturelle
Effi cacité énergétique
Email lisse
Four multifonction
Gril
Hydrolyse
« Porte froide »
Programmation
Pyrolyse
Sécurité
Température
Tournebroche
Les tables de cuisson
Allumage
Brûleur
Dominos
Induction
Gaz
Grilles
Halogènes
Radiants
Sécurité induction
Tables mixtes
Thermocouple
Les hottes
Aspiration par évacuation
Aspiration par recyclage
Décoratives
Encastrables (tiroirs et escamotables)
Filtres à charbon actif
Filtres à graisses
Groupes d’aspiration, Groupes fi ltrants
Hottes de plan de travail
Visières
27
27
26
26
28
28
26
26
26
20
20-21
22
16
20
21
19
19
18
22
21
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07
07
10
07
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09
09
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07

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