6La réalisation de la feuille de styles. OpenOffice.org feuille de styles
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d’être normalisée que des supports de formation qui pourront être partagés entre
établissements d’enseignement et qui sont appelés à être mis à jour régulièrement pendant de nombreuses années.
En revanche, les rédacteurs sont conduits à utiliser des modèles de courrier, de rapport, de thèses, etc. Il est nécessaire d’harmoniser la terminologie pour aider les rédacteurs. Il est ainsi facile de s’approprier un nouveau modèle et de passer de l’un
à l’autre. La terminologie est transversale. Ceci renforce la nécessité de normaliser.
Une bonne manière d’éviter les erreurs de terminologie est de copier celles utilisées dans des domaines voisins, par exemple, dans les DTD (descriptions types de documents) ou schémas XML, d’ouvrages de la même famille.
Noter que les objets doivent être discriminés, non en fonction de leur présentation envisagée, mais de leur nature. Par exemple, il est préférable de distinguer « légende de tableau » et « légende d’illustration », même si leur aspect est identique. En cas d’évolution, il est facile d’effectuer un remplacement global d’un nom de style par un autre, voire de fusionner deux familles d’éléments. En revanche, il est souvent nécessaire de séparer manuellement des éléments différents identifiés par le même style.
6 La réalisation de la feuille de styles
Lorsque l’inventaire est effectué et la terminologie arrêtée, le travail important est fini. Cependant, la suite de cette note présente quelques conseils de réalisation issus d’une vingtaine d’années d’expérience dans la création de modèles avec divers logiciels de production de documents.
La feuille de styles est au service de la lisibilité et de la compréhension du message.
Ainsi, l’exploitation du document est-elle facilitée, tant lors de sa rédaction, que lors de sa lecture. Elle doit aussi aider à respecter la charte graphique de l’organisation.
Ces propriétés typographiques et de mise en page ne sont pas du tout abordées dans ce document. Il faut appliquer aux styles les propriétés habituelles ou suivre les recommandations des bons ouvrages en la matière.
Les principaux sujets, en dehors des « goûts et couleurs » de l’aspect du document sont : dépendance du corps du texte par rapport au niveau de titre ; espacement avant ou espacement après pour séparer les paragraphes ; les styles de liste ; enchaînements de paragraphes, dont le cas des listes ;
« hiérarchie » des styles ; importance du « Style de suite » ; intérêt des styles de caractère ?
styles de pages .
6.1 Dépendance du corps du texte par rapport au niveau de titre
Une habitude issue de la dactylographie, tend à placer le contenu du corps du document à l’aplomb du retrait du titre. Ainsi, le « U » du début de ce paragraphe serait placé sous le premier caractère du titre et non à la marge.
Cette question doit être analysée à deux points de vue.
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6.1.a Point de vue de la rédaction
Deux raisons justifient de désolidariser le codage du contenu du document du niveau de titre qui précède :
Principalement, une raison pratique : si pour coder le corps du document il faut utiliser dix styles et que le document est organisé autour de quatre niveaux de titres, avec une présentation sans dépendance, il suffit de 10 + 4 = 14 styles pour coder le document. Il en faudrait 10 x 4 + 4 = 44 pour coder avec dépendance.
Par ailleurs, lors de la réorganisation du document, par exemple, pour ajouter un niveau de titre dans une partie, il faudrait modifier tous les styles du corps.
Accessoirement, une raison théorique : une illustration sous un titre de niveau 5 est une illustration, comme sous un titre de niveau 1. Il n’y a donc aucune raison de modifier les styles.
6.1.b Point de vue du typographe
Le typographe a toute liberté de faire ce qu’il juge préférable pour la lisibilité du document. Une limite est que cela ne gêne pas le rédacteur et ne lui complique pas la tâche. Si la machine permet de donner satisfaction au rédacteur et au typographe de manière automatique, pourquoi s’en priver ?
OpenOffice.org Writer offre une solution pour adapter la présentation au niveau de titre : les styles conditionnels. Ils permettent de placer deux styles en série. Le premier est celui utilisé par le rédacteur, par exemple, « Corps de texte ». Le second est utilisé par le logiciel en fonction de la position de l’objet dans la structure. Ainsi, sous un titre de niveau 4, « corps de texte » devient « Corps de texte 4 ». Le nombre de styles n’augmente pas pour le rédacteur, mais il augmente pour les concepteurs de la feuille de styles. Ce n’est donc qu’un investissement initial. Avis aux amateurs !
Il serait intéressant de montrer des exemples car le fait que tous les styles n’admettent pas des conditions doit être une contrainte.
Tant que l’automatisme n’est pas intégral, il faut savoir faire des compromis pour faciliter le travail du rédacteur. Ceci conduit à ne pas chercher la perfection pendant la phase de rédaction et de mise au point.
6.2 Espacement avant ou espacement après
Pour aérer verticalement les paragraphes, il existe deux propriétés : « Espacement avant » et « Espacement après » le paragraphe.
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ne place que l’espacement le plus grand, ce qui donne plus de liberté pour gérer les espacements sans trop les augmenter. Dans la majorité des cas, il semble préférable de privilégier l’espacement avant et de ne donner une valeur qu’à l’une des deux propriétés. Pour des titres par exemple, il est possible de donner des valeurs aux deux propriétés.
Une tentative d’explication est : la mise en relief d’un élément du document se fait principalement par des blancs verticaux ; comme le document se lit de haut en bas, « l’attachement » fonctionnel d’un
élément à celui qui le précède est fonction du blanc qui le sépare de lui ; ce qui conduit à placer le blanc devant l’élément « attaché ».
Ainsi, par exemples : un titre aura un blanc avant important pour le détacher de ce qui précède ;
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un article de liste aura un blanc avant plus réduit que celui de « Corps de texte » pour montrer l’unité de la liste (au moment de la rédaction de ce document, le style « Corps de texte » a un espacement avant de 0,20 cm, tandis que le style
« Puce 1 », qui code ce paragraphe article de liste, a un espacement avant de
0,10 cm) .
Ce n’est pas une règle impérative, mais issue de l’expérience. Autres avis ?
6.3 Enchaînement des paragraphes
Il y a des cas simples : un titre doit être « Lignes solidaires » et « Paragraphes solidaires » ; un paragraphe « Corps de texte » ne doit pas être « Paragraphes solidaires » et le concepteur à toute liberté pour les lignes ; un paragraphe d’introduction de liste, « En-tête de liste » doit être « Paragraphes solidaires » mais il peut éventuellement être coupé s’il est supérieur à cinq ou six lignes.
À partir de ces quelques règles, le concepteur du modèle peut décider des propriétés d’enchaînement à donner aux divers styles, notamment, en tenant compte de la longueur moyenne des paragraphes.
Il y a quelques cas délicats, particulièrement les listes
qu’une liste courte ne soit pas coupée en son milieu. Certains logiciels disposent, en plus de « Paragraphes solidaires » vers l’aval, d’une propriété « Paragraphes solidaires vers l’amont ». Dans ce cas, l’on peut donner la propriété « Paragraphes solidaires vers l’amont », aux « articles » d’une liste. Ainsi elle ne serait pas coupée et il serait inutile d’avoir un paragraphe « En-tête de liste ». Cette propriété est sollicitée par des utilisateurs d’
OpenOffice.org Writer doit pas figurer parmi les évolutions urgentes.
depuis plusieurs années, mais elle ne
Ceci d’autant plus que type de liste. Par exemple pour les listes non ordonnées : « Puce
« Puce
n
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début », « Puce
n
fin » et « Puce
n
dispose de quatre styles pour chaque
suite » (dans cette hypothèse
n
n
»,
est le niveau de la liste). En donnant des propriétés d’enchaînement différentes à ces styles, on peut imaginer bloquer les listes ou éviter un petit nombre d’articles sur une page. L’ouverture de la liste se ferait par un paragraphe « En-tête de liste », puis le style passerait automatiquement à « Puce 1 début », puis « Puce 1 suivante ».
L’arrêt de la liste serait provoquée par l’appel du style « Puce 1 fin », suivi automatiquement par défaut, d’un paragraphe « Corps de texte ». L’affectation de ces
styles pourrait être standardisée. Quel standard proposer ?
Remarquer que par défaut,
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dispose de cinq niveaux d’articles de liste pour chacune des familles de listes. Il est rare d’avoir besoin de plus de deux niveaux. Heureusement, car à chaque changement de niveau il y a un problème de coupure potentielle de page. Il reste donc quelques progrès à faire pour que tout soit parfait automatiquement.
1 OpenOffice.org Writer offre plusieurs solutions radicalement différentes pour coder les listes. Dans cette note, seule la solution commune avec celle de
Microsoft Word pour
Windows est présentée. Il serait probablement utile de mieux connaître les objectifs des concepteurs du logiciel pour définir des règles d’usage des divers modes de codage des listes. Appel à idées et expériences !
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6.4 Les styles de liste
6.4.a Les options offertes par OpenOffice.org Writer
Les styles de liste complètent les styles de paragraphe qui codent les articles d’une liste.
Il semble qu’il y ait deux manières d’utiliser les styles de liste : soit à travers un style de paragraphe : dans ce cas l’onglet du styliste « styles
n’a jamais à être utilisé par les rédacteurs ;
soit directement, en superposant un style de liste au style du paragraphe courant : ce qui oblige le rédacteur à employer un style de liste, en plus ou à la place du style de paragraphe.
Les styles de liste permettent de coder directement des listes de dix niveaux. Utilité ?
Dans les styles prédéfinis, il y a cinq jeux de chaque type de liste avec dix niveaux chacun. D’autres peuvent être ajoutés.
Un style de paragraphe peut être attaché à un style de liste, mais seulement à son
premier niveau
Un style de liste peut être utilisé par plusieurs styles de paragraphe. Un cas typique d’utilisation, est de n’avoir qu’un style de liste « Puce
n
» pour toute la série de
styles des paragraphes du même niveau d’articles : « Puce
n
», « Puce
n
début »,
« Puce
n
fin » et « Puce
n
suite ».
Pour simplifier et faute de maîtrise des styles de liste, il semble suffisant d’utiliser la première démarche. Toutes les listes sont codées à partir de styles de paragraphe, par exemple, le style de liste « Puce tées.
n
» pour le paragraphe de liste « Puce
n
» où
n est le niveau de la liste. Ceci s’applique de manière identique pour les listes numéro-
6.4.b Solution de compromis (provisoire ?)
Après six mois d’utilisation, je suis tenté de recommander une solution de compromis :
Coder le premier niveau de la liste avec un style de paragraphe, par exemple,
« Puce 1 » ou ses dérivés ;
Coder les autres niveaux avec les styles de liste en utilisant la touche tabulation pour passer d’un niveau à l’autre.
Ainsi, les paragraphes de la liste sont bien dotés d’un style spécifique, ce qui permet de leur appliquer des propriétés différentes de celles du corps de texte, mais les niveaux inférieurs, assez rarement employés, s’obtiennent sans recours à un style de paragraphe. La distinction entre les niveaux est réduite aux propriétés du caractère d’appel de la liste, mais n’est-ce pas suffisant pour la plupart des documents ? Voir
6.4.c Ne pas considérer que le sujet est épuisé
Cette note mériterait d’être complétée par des recommandations sur l’usage des styles de listes en fonction des documents produits. Par exemple, ne serait-il pas souhaitable de disposer de styles conditionnels au sein des listes pour que l’auteur
1 Parfois appelé « Styles de numérotation » dans l’aide du logiciel.
2 Les autres niveaux sont obtenus avec la tabulation ou la barre d’outils. Tous les styles sont identiques. C’est le rang obtenu par la tabulation qui fixe la présentation. C’est donc une démarche radicalement différente de celle exposée.
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n’ait à appliquer qu’un style mais que la machine attribue un style effectif en fonction de la position de l’article dans la liste ? Avis ?
6.4.d Une recommandation de mise en page des styles de listes
Autant pour le style du paragraphe de liste, que pour le style de liste correspondant, les propriétés sont laissées à la discrétion du concepteur de la feuille de styles. Une seule recommandation mérite d’être signalée : aligner les lignes suivantes à l’aplomb de la première ligne ou du début du symbole. Il est fréquent de trouver des positions
6.5 Hiérarchie des styles
La hiérarchie des styles au sens de
OpenOffice.org Writer s’agit d’une filiation des propriétés des styles.
n’a rien à voir avec une structure hiérarchique des éléments d’information qui constituent le document. Il
Quelles recommandations faire ? Il n’y a probablement pas de règle immuable. Voici cependant quelques habitudes discutables : aucun des styles utiles ne dépend du style « Standard », qui est laissé isolé dans la hiérarchie des propriétés ; tous les titres sont attachés à style père unique, par exemple ils dépendent tous directement de « Titre », en peigne, alors que des auteurs préfèrent que les styles de niveau n, dépendent du niveau n-1 ; les styles des éléments du corps du document dépendent du style « Corps de
texte », rarement par l’intermédiaire d’un autre style.
Le style « Standard », isolé et intouchable, peut être utilisé pour des cas particuliers, notamment dans le squelette. Ceci permet de modifier les propriétés locales d’un élément unique, qui n’a jamais à être créé par les rédacteurs.
Il n’y a pas beaucoup d’enjeu dans la filiation, car il est toujours possible de la modifier. Par ailleurs, cela porte sur des opérations peu fréquentes, par exemple pour changer la police de tous les titres. Cependant, une bonne hiérarchie facilite les mises au point pendant la phase de test.
6.6 Importance du « Style de suite »
Lorsque l’on rédige à l’écran, il faut avoir le minimum d’interventions à faire pour coder le document. Une des manières de réduire les actions du rédacteur est d’automatiser certains enchaînement de styles.
Il y a des cas où l’enchaînement est presque systématique, par exemple pour introduire une liste le rédacteur doit l’ouvrir, par exemple avec le style
« En-tête de liste ». Le « Style de suite » est « Puce 1 » pour une liste non ordonnée.
L’arrêt de la liste se fait par l’appel d’un style différent, par exemple « Titre n » ou
« Corps de texte ». Ainsi le rédacteur à une action en début de liste et une autre en fin de liste.
1 Le paramétrage des numérotations et symboles de listes n’est pas très simple. Une fiche avec schémas serait probablement utile pour compléter les images de formulaires des documentations sur le logiciel.
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Pour mettre en œuvre les styles prédéfinis prévus dans possible de prévoir, par exemple, la séquence suivante :
OpenOffice.org Writer , il est pour débuter, « En-tête de liste » qui appelle « Puce 1 début »,
« Puce 1 début » appelle « Puce 1 suivante »,
« Puce 1 suivante » appelle « Puce 1 suivante ».
La séquence peut être arrêtée par « Puce 1 fin » qui appelle « Corps de texte ».
Malgré toutes les modifications de styles, le rédacteur n’a à agir qu’au début et en fin de liste.
Cette dernière liaison est une situation où le « Style suivant » est le style le plus probable, car il doit parfois être remplacé. C’est le cas pour tous les styles
« Titre n », qui sont fréquemment suivis par « Corps de texte ». C’est le style le plus probable qui est paramétré dans le style, mais il doit parfois être surchargé par un autre style.
6.7 Intérêt des styles de caractère ?
Les styles de caractère sont utiles pour modifier la typographie de quelques mots dans un paragraphe, par exemple pour mettre un mot en évidence ou pour une citation
. Par rapport aux propriétés directes des caractères, comme « Gras » et
«
Italique
», ils donnent beaucoup de souplesse lors de modifications ou de traitements automatiques.
: ne pas survivre à un effacement global des propriétés non attachées aux styles de paragraphes
. Les styles de caractère sont détruits
comme les propriétés locales sans style. Dommage ?
Il est pertinent de les utiliser pour des documents devant vivre assez longtemps.
« J’avoue » que dans la plupart des cas, j’utilise « gras » et « en relief quelques mots...
italique » pour mettre
Un autre cas d’usage d’un style de caractère est le changement de langue.
Il faut noter que dans la plupart des cas, le style de caractère ne doit pas posséder toutes les propriétés d’un caractère mais seulement une ou l’autre, de manière à ne pas avoir à en multiplier le nombre. Ainsi un style pour changer la langue ou pour ne pas appliquer de césure à un mot ne doit comporter que la propriété « Langue ».
Pour éviter la césure la propriété « Lanque » est « - Aucune(e) - » qui est reprise
dans le champ « Contient » comme illustré ci-dessous 3 .
1 Non spécifique à OpenOffice.org Writer.
2 «
Ctrl
+
Maj
+
espace
» sur tout le document.
3 Pour plus de détails, voir la FAQ : http://wiki.services.openoffice.org/wiki/Fr.openoffice.org/FAQ/Writer/118
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6.8 Les styles de page
Les styles de page méritent une réflexion. En effet, la page n’est pas un élément du document. La page est la résultante d’un affichage du document. Par quelle astuce
OpenOffice.org Writer
affiche-t-il des parties de document à partir d’objets virtuels que sont les pages tant que le document n’est pas couché sur papier ou écran ?
On peut dire que les propriétés sont attachées au « contenu » pour les caractères, les paragraphes, les cadres. Y compris pour l’objet « section », qui représente une partie
du document, les propriétés sont attachées au contenu 1 .
Pour les parties (un chapitre, une annexe, la table des matières, etc.) les propriétés sont attachées au « contenant », la page de papier destinée à recevoir le document.
Les propriétés d’affichage de la partie de document sont obtenues en la liant à un ou
« contenants » à travers des styles de pages.
Lors de la création d’une nouvelle partie du document, le rédacteur devrait le plus souvent utiliser le style de paragraphe du titre de la partie. Ce style de paragraphe
entraîne un saut de page avec un premier style de page de « Partie début » 3 .
Si la première page de la partie est différente des suivantes, au style de page
« Partie début » est attribué un style de page suivante « Partie courante ». Ainsi, comme illustré sur le schéma suivant, quand la première page de la partie est pleine, automatiquement, sans que le rédacteur ait à intervenir, un autre style de page s’applique au texte.
1 Comme il n’y a pas de style de section, cet objet n’est pas étudié dans cette note.
2 Voire plus, mais c’est rare.
3 Les termes utilisés pour qualifier les pages sont génériques et n’ont rien d’obligatoire.
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Dans le modèle, il faut mettre à la disposition des rédacteurs autant de types de page que nécessaire pour donner les propriétés pertinentes aux diverses parties du document. Dans la majorité des cas, le rédacteur doit accéder aux styles de page à travers des styles de paragraphe. Ainsi, le rédacteur n’a pas trop à connaître les styles de page. Dans certaines situations, comme le placement d’une illustration dans une page au format paysage, le rédacteur doit insérer une page et choisir directement le style
Il faut aussi donner des noms fonctionnels aux styles de page. Si le rédacteur y a un accès direct, ceci lui évite de se poser des questions.
Il faut éviter de multiplier les styles de page. Comme un style de page contient les en-têtes et pieds de page, ceux-ci doivent être remplis automatiquement par des champs qui puisent l’information, par exemple dans un titre. Il faut éviter de
1 Dans ce cas, une autre possibilité est de faire pivoter un grand objet dans une page au format portrait.
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