Notice d‘utilisation
Autotensiomètre anéroïde – Réf.2012983
Autotensiomètre anéroïde
Introduction
Cet autotensiomètre permet de contrôler soi-même sa tension artérielle (systolique et
diastolique).
Environ 50% des Européens ne savent pas qu’ils sont atteint d’hypertension. Cette
pathologie cardiovasculaire est définie par une pression artérielle trop élevée. En général,
cela désigne une pression artérielle systolique supérieure à 140 mmHg et une pression
artérielle diastolique supérieure à 90 mmHg.
Elle peut être aigüe ou chronique, il en existe deux formes principales :
- l’hypertension artérielle essentielle (80%) : ses causes ne sont pas sûres mais les
facteurs de risques sont nombreux : une alimentation trop grasse et trop riche, fumer,
l’obésité, le stress et les prédispositions héréditaires.
- l’hypertension symptomatique : l’hypertension est alors un symptôme d’une maladie
sous-jacente spécifique.
L’hypertension est toujours un signe d’avertissement pour la personne, dans certains cas
elle est annonciatrice de crise cardiaque. C’est pour cela qu’il est important de surveiller sa
tension artérielle régulièrement surtout si l’on a des prédispositions.
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Notice d‘utilisation
Autotensiomètre anéroïde – Réf.2012983
Contenu
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1 stéthoscope (avec récepteur à membrane)
1 manomètre à aiguille
1 brassard avec velcro
1 poire de gonflage
Trousse de rangement
Utilisation
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Tout d’abord asseyez vous confortablement. Posez voter bras sur la table et
remontez votre manche jusqu’à l’épaule. Il ne faut pas que vous soyez tendu ou mal
à l’aise sous peine de fausser les résultats. Détendez vous quelques minutes dans
cette position.
A présent, vous pouvez mettre votre brassard : il faut qu’il soit ni trop lâche ni trop
serré.
Placer le récepteur à membrane du stéthoscope à l’endroit de votre veine brachiale
(du bras) au niveau de la pliure du coude sur la face interne du bras.
Mettez les écouteurs en prenant soin de fermer la soupape (tourner là dans le sens
des aiguilles d’une montre).
Votre bras doit être tendu, le coude à peine plié avec la paume en l’air mais relachée.
Pompez la poire avec votre autre main jusqu’à dépasser de 30 mmHg votre pression
artérielle habituelle. Si vous ne la connaissez pas, la pression minimum est de 200
mmHg.
Une fois terminé, dévisser un peu la soupape pour réduire la pression à 2/3 mmHg
par seconde. Il ne faut pas que la pression diminue trop rapidement au risque d’avoir
une valeur imprécise ou faussée.
Quand la pression chute, vous entendez normalement un bruit de battement qui va
augmenter progressivement jusqu’à disparaître complètement.
La pression systolique se note quand vous avez commencé à entendre les
battements, la diastolique se note quand ils se sont arrêtés.
Si jamais vous avez manqué les bruits, votre mesure indiquée ou autre dégonfler
complètement le brassard et attendez quelques minutes avant de recommencer.
Noter également la date et l’heure où vous effectuez ces mesures.
Une fois les battements disparus, ouvrir complètement la soupape pour dégonfler
entièrement tout le système.
Analyse des résultats
Les patients jeunes et en bonne santé ont normalement un pression systolique comprise
entre 100 et 120 mm et une pression diastolique entre 60 et 80 mm.
Les facteurs suivants sont à prendre en compte : âge, sexe, comportement, poids,
développement musculaire, fatigue, stress... car ils font varier les mesures, leur
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conséquence est importante. Par exemple, les femmes ont une pression artérielle plus faible
que les hommes.
Vous avez des questions ? Un doute ? Adressez vous à votre médecin, il n’y a que lui qui
pourra vous répondre correctement. N’interprétez pas hâtivement vos résultats.
!! Votre médecin est la seule personne qualifiée pour évaluer, observer et interpréter les
mesures !!
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